Né à Castres (Tarn) en 1959, Patrick Roncalli a effectué ses études au Lycée Louis Rascol d’Albi, avant d’obtenir un BEP d’électromécanicien en 1977.
Il travaille pour la Société centrale de l’uranium et des minerais radioactifs (SCUMRA) dans les mines d’uranium à Bertholène (Aveyron), fore des conduites forcées pour relier des barrages à la centrale hydroélectrique de Brassac dans le Tarn.
Désireux de passer le concours de l’école des conducteurs de travaux du génie civil de Toulouse, il suit pour se mettre à niveau des cours du soir pendant 2 ans.
Il obtient son concours et après 18 mois d’école entre à la société CSM BESSAC et participe à la pose de collecteurs souterrains et à la construction du métro de Toulouse, qui a nécessité l’utilisation d’un tunnelier géant, comme sous la Manche.
En 1986, il créé son entreprise Roncalli TP à Bouloc, spécialisée dans la reprise d’ouvrages à la suite de problèmes d’affaissements de fondations par pose de micropieux et injection de ciment ou résine.
En 1997, Patrick avait commencé une formation de pilote privé hélicoptère à Muret-L’herm chez HELICOP’AIR sur Bell 47. Il effectue une quarantaine d’heures avant que cette société ne fasse faillite en 1998.
En 2014, il s’inscrit à l’Aéroclub Montalbanais, vole sur Tecnam avec André Salesses pour instructeur, avant d’obtenir son PPL avec Daniel Carrière en mai 2016. Il a participé au Tour ATL l’an dernier, il vole également sur le 401 et à déjà parcouru la France du Mont St-Michel au Pic du Midi en passant par l’Île d’Yeux et Colmar. Son fils Mickaël, également membre de l’ACM totalise une trentaine d’heures de vol.
Grand amateur de vélo, avec deux à trois sorties hebdomadaires de 80 km avec le club Feutrier de Montauban, Patrick Roncalli s’est longtemps illustré en courses de buggy sur piste en terre de 2005 à 2012 en participant aux 24 Heures TT de France, aux 24 Heures du Portugal…
Il a même fabriqué de ses mains un buggy monstrueux poussé à 450 cv (moteur Porsche) pour un poids de 870 kg, digne de Mad Max.
En 2013, il roule sur circuit en Lotus (260 Cup) et se retrouve toujours en bonne position. Mais son dos le lâchant, il s’est définitivement rangé des voitures pour l’avion.
Si vous souhaitez découvrir de nouveaux paysages, hors des limites du département, ou lui faire découvrir de bons restaurants, il est partant pour vous servir de co-pilote.
Discret et disponible, Patrick est toujours volontaire pour offrir spontanément ses services.
Pour cela, les dirigeants de l’ACM tiennent aujourd’hui à le remercier chaleureusement de son engagement, constant et désintéressé, pour l’Aéroclub Montalbanais.