Instructeur bénévole avion (qualifié VFR de nuit)
Né à Toulouse en 1995, Quentin BOUDOU, après le collège, intègre le Lycée Airbus et passe un CAP de mécanicien cellule aéronef.
Il travaille pendant 4 ans et demi comme mécano sur A 380, pour monter des équipements électriques, des aménagements de cabine ou des éléments de structures.
Depuis octobre 2017, il est passé sur A 330 Néo et procède à des essais cabine, travaille également sur les structures et les circuits hydrauliques.
Quentin a très tôt baigné dans le milieu aéronautique, puisque sa maman Édith, était chargée du suivi technique des avions sur Boeing et Caravelle à Air Toulouse dans les années 90.
Quand elle quitte cet emploi pour travailler à Toulouse-Lasbordes, toujours dans l’entretien des avions, mais de tourisme cette fois, il la suit partout, des ateliers à la tour de contrôle et découvre ainsi l’aviation légère de loisir. Ce monde le fascine, lui aussi veut devenir un jour pilote.
Son frère Brice, qui a été instructeur bénévole à l’aéroclub de Graulhet puis salarié à la Baule pendant 5 ans, lui donne ses premières leçons de pilotage sur Cessna 150 en 2010. Depuis, il est devenu pilote de ligne chez Hop ! sur ATR 72.
Quentin obtient son PPL à Graulhet en 2011 pour ses 17 ans. Il vole sur DR 400, PA 28 et Piper J3 et monte consciencieusement ses heures de vol.
Puis en 2015, il suit une formation d’instructeur à l’ENAC et devient instructeur à l’aéroclub de Graulhet d’avril 2015 à octobre 2016.
En juin 2016, il passe à Pamiers une qualification sur Pilatus Turbo Porter pour pouvoir faire du largage de parachutistes.
Il occupe ses loisirs en faisant du largage de parachutistes et de l’instruction à l’aéroclub. Il a sauté une fois en parachute, comme tout bon largueur qui se respecte…
A ce jour, il totalise plus de 1.300 heures dont 400 sur Pilatus.
Depuis début janvier 2018, il est instructeur bénévole avion à l’ACM, une semaine sur deux, puisqu’il travaille en 2×8 chez Airbus.
Un emploi du temps bien chargé, qui lui laisse peu de temps pour souffler, mais le satisfait pleinement puisqu’il n’envisage pas de carrière aéronautique à moyen ou long terme.