Né à Cambrai (Nord), Olivier HERLIN a suivi des études secondaires en Bourgogne au Lycée de Joigny (89) avant de passer un Bac E (Sciences et techniques) en 1985.
Il passe ensuite un DUT en Génie Mécanique à Troyes avant de poursuivre par un Diplôme Universitaire de Production Automatisée.
Il effectue son service militaire comme formateur informatique de 1988 à 1989 à Cluny (Saône-et-Loire).
A Auxerre, il est chargé par une école d’ingénieurs de monter un secteur de Productique (conception assistée par ordinateur, machines outils à commandes numériques et métrologie) et a l’occasion de travailler sur le logiciel CATIA de Dassault Systèmes.
Pendant ses week-ends, il travaille pour le plaisir pour des privés à la conception d’un avion (le Balbuzard), ce qui lui donnera l’occasion de nouer des contacts chez Dassault et IBM.
Puis il demande à bénéficier d’un congé individuel de formation pour devenir ingénieur avant d’obtenir son diplôme 3 ans plus tard.
Il est tout de suite embauché chez Dassault Systèmes (éditeur de logiciels spécialisé dans la conception 3D et les solutions pour la gestion du cycle de vie d’un produit) à Toulouse comme Ingénieur technico-commercial, où il est notamment chargé de la promotion du logiciel CATIA.
Après avoir été responsable technique pour Dassault Systèmes de Thalès Alénia Space, il s’est vu confier Airbus Helicopters puis aujourd’hui Safran.
Olivier est père de trois enfants : Julie, 23 ans infirmière; Maxime, 22 ans en BTS Technico-commercial et Lætitia, 19 ans en BTS Comptabilité-Gestion. Mais aucun des trois n’a d’attirance particulière pour l’aérien.
Olivier a tâté du planeur à Moissac en 2009, et effectué une quinzaine d’heures avant d’abandonner à cause des contraintes inhérentes à cette activité.
Disposant de plus de temps, il effectue un vol d’initiation avec Daniel Brunet en juin 2017, et s’inscrit dans la foulée à l’ACM.
Au bout d’un an, il obtient son brevet de pilote ULM et son emport passager quelques mois plus tard.
Il participe 2 fois au Rallye de l’ACM en 2018 et 2019 (troisième place) avec son complice Thierry Bourrié.
C’est d’ailleurs avec ce dernier qu’il va racheter le Nynja du Club au mois de novembre, dès l’arrivée du Super Guépard.
Avec 80 heures de vol au compteur, Olivier qui a déjà poussé jusqu’à Aurillac, Arcachon, Millau, le Pic du Midi, les châteaux alentours et envisage prochainement une tournée des places fortes cathares de l’Occitanie.
Quand il sera à la retraite d’ici 6 ans, il envisage l’achat d’un ULM aile basse performant, type VL3 pour des voyages plus lointains, avec son épouse Marie.
Après un survol de Montauban qui ne s’est pas mal passé et un tour du département sans être malade, elle est donc a priori partante pour une virée en Bourgogne afin de rendre visite à la famille pendant les prochaines vacances.